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« Je te demande que le premier vendredi après l'octave du saint sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon cœur... » Telles furent les paroles que le Christ adressa à sainte Marguerite-Marie en juin 1675.
A la suite du Christ, sainte Marguerite-Marie fut donc à l'origine de la popularisation du culte du Sacré-Coeur, "ce Coeur qui a tant aimé les hommes".
Entre 1765 et 1856, la dévotion au Coeur-Sacré se développa dans la Sainte Eglise catholique : le successeur de Saint Pierre reconnut d'abord l'Office et la Messe, puis institua la Fête du Sacré-Coeur. Enfin, en 1928, ladite Fête fut élevée au rang de solennité de l'Eglise catholique, par le Pape Pie XI.
C'est aujourd'hui, troisième vendredi suivant la Pentecôte, que les catholiques du monde entier prient le divin Coeur avec encore plus d'instance.
Le mystère de la sainte Trinité, c'est un seul Dieu en trois personnes ; il n'y a dans Dieu qu'une nature, qu'une essence, qu'une substance, qu'une seule chose, et qu'un seul et même esprit, qui subsiste néanmoins en trois personnes, qui sont le Père, le Fils, et le Saint Esprit.
Le jour de la Sainte Trinité, le prêtre bénit le sel posé sur l'autel dans un récipient garni de pensées (en alsacien dreifaltigkeitsblueme : fleur de la Trinité). Lors de sa bénédiction, il est demandé que, pour tout ceux qui en font usage, le sel béni soit un remède pour le corps et le mental et que tout ce qu'il touche soit libéré de l'impureté et de toute influence du mal.